Cette année, nous sommes allée en famille jouer à nous faire peur au Parc Astérix. Mes Moopys étaient aux anges. Ils ont littéralement adoré les frissons parsemés dans le parc. Le temps n’était pas trop désagréable.

Les impressions de mon Deuze: il a raffolé des monstres de la rue de Paris. Il était prêt à ramener à la maison les jeunes filles et la Bête. Les maquillages l’ont laissé songeur et émerveillés. Il a adoré le style. Il était ravi de voir les créatures divines croisés dans Scooby-doo (cherchez pas mon poussin adore Mystères et associés avec son lot de zombies, vampires, loup-garous…). Ca lui a fait oublié que son attraction favorite était fermée (sans rails elle pouvait difficilement fonctionné). La sortie lui a changé les idées avant son séjour à l’hôpital. Il avait un grand sourire le soir venu. Merci Astérix et ses amis monstrueux ou non.

Vivement les 25 ans du Parc Astérix. En attendant, nous avons le nouvel album: Astérix chez les Pictes pour nous ravir.

Mon Prem: Les monstres l’ont fait frissonner. Il a été ravi de la douce peur qui a pu naître dans ses veines. Lui qui n’avait pas trop raffolé des sensations fortes l’année dernière était aux anges pour cette version 2013. Le magicien qui coupe la langue de son assistante a quand même manqué de le faire partir en courant. J’ai du poser des limites pour les tests d’attractions, trop froid pour les jeux d’eau.

Ma tite der: ma puce est une petite casse cou, elle est sous des apparences tendres, douces, une vraie petite bombe d’énergie. Par contre, les sorcières, les monstres, les zombies, c’est pas trop sa tasse de thé. Elle est encore un petit peu jeune, du haut de ses 4 ans 1/2.

Elle a passé son tour pour “Le Transdemonium” (moi aussi et j’ai nettement plus que 5 ans). Mes garçons ont adoré même si pour eux le jeu aurait pu être davantage poussé pour effrayer petits et grands avec les lumières et l’ambiance.

 Petit passage obligatoire dans l’attraction favorite de la tribu: “Nationale 7″ rebaptisée “Le chemin des sorciers”. Les citrouilles ont envahi le parcours. C’était très agréable.

La Rue de Paris a des vrais bonnes idées. Toujours aussi efficaces, cette année, les plus jeunes (12 ans et plus) ont leur propre maison hantée. Les plus âgés, pourront partir se faire courser par un charmant personnage qui me remet Massacre à la tronçonneuse en tête à chaque fois. Prem se planquait derrière Deuze qui était plié. Moi, j’en menais pas large. 

La zone égyptienne, que se situent donc les parcours horrifiques du Parc Astérix, touchera les adultes. A déconseiller aux petits âmes sensibles. Dans le noir, nous pouvions croiser des momies (La colère d’Anubis), des créatures sorties tout droit de films d’épouvante (La maison de la peur). Mon coeur a adoré. Les files d’attente demandent de la patience. Mais le résultat en vaut la peine.

J’ai pu voir Frankenstein 3D avec Deuze. J’ai expliqué l’histoire, le film a été une petite déception pour ma part, je m’attendais plus à un récit complet.

Au niveau des chaudrons magiques, cette année, nous n’étions pas plongés dans le noir ni de brume, dommage, l’atmosphère en a perdu de sa séduction. Idéal pour les petits gaulois dès 3 ans, pas trop d’émotions fortes au rendez-vous.

Nous n’avons pas manqué notre petit tour incontournable vers “Les petits Drakkars”, “Les chaises volantes”, “L’escadrille des as”, “Romus et Rapidus”, Le Village Gaulois (avec ses contes), « La rivière Epidemais » qui a perdu sa musique si je ne m’abuse. Et j’ai du en oublier.

Le show des dauphins a eu aussi droit à sa version Halloween, très drôle, et sympathique. Les otaries ont participé au spectacle.

Mes garçons étaient contents de leur journée. Ma fille aussi et les parents heureux. Chacun a eu sa dose de frissons. Un jour nous tenterons la version nocturne. Jamais testé. L’ambiance citrouille et peur a été un très bon cocktail pour la famille. Petits et grand ont eu leur lot de sensations. Davantage que dans d’autres parcs dans un sens, plus convivial, plus agréable Astérix a su conquérir toute la tribu avec son programme Peur sur le Parc.