S’il y a bien une chose que le coeur d’un parent redoute c’est la maladie, la douleur et d’autres points pour son enfant. Mon Deuze a eu une hospitalisation en septembre, une semaine sans lui à la maison. 2 kilos en moins sur la balance. (lui mon petit oiseau ne mangeait plus rien) De longs jours d’inquiétudes. Un samedi, il n’a plus réussi à poser les pieds par terre. Une douleur le ronge doucement et lentement. Une douleur qui va et vient. Une douleur qui lui a imposé un repos forcé.
C’est en suivi un traitement d’un mois d’antibiotiques à dosage corsé, des examens à foison, un éviction de sport, du repos. Deuze a depuis toujours mal. Selon sa journée, il a plus ou moins de difficultés à marcher. Il profite de la marche de la poussette, se fait porter. Il râle rarement, il traine et boite.
Ce week-end, la douleur est revenue plus présente, plus violente. Rien de tel pour vous faire oublier que vous avez la crève, que vous n’allez pas bien. Peu importe l’heure, peu importe les dessins animés à minuit, peu importe tout cela si les larmes et les plaintes s’effacent. Mon grumeau était blanc comme un linge, plié en deux de douleur. A tel point, que Papa Moop et moi on a hésité à partir aux urgences pédiatriques. Des câlins, des mots doux, de l’ibuprofène et des glaçons plus tard le sommeil est venu.
Je suis lasse, lasse de cette infection osseuse mystérieuse.
Lasse qu’on ne croit pas un petit bout de 3ans 1/2. Il se plaint rarement, très rarement, c’est pas le bavard du trio Moopy. Moi, je le crois, je crois en sa souffrance. Je crois que ses pieds et ses jambes le taquinent.
Lasse de voir que les meilleurs amis de Deuze sont du paracétamol et de l’ibuprofène.
Lasse de voir mon petit homard souffrir. Je me sens impuissante. Si je pouvais, je prendrais ses bobos, je ne le peux pas.
J’en pleurerais, devant lui je me retiens. Je tente d’être forte. D’être une maman solide, de le soutenir, de l’aider à supporter son mal.
J’aimerai juste une solution. Juste un moyen de ne plus voir mon poussin se crisper et retenir ses larmes dès qu’il pose les pieds par terre. Alors demain, je tente le rendez-vous avec l’osthéopathe. Qui ne tente rien n’a rien.
Je t’envoies pleins des bisous de soutien et oui, qui en tente rien…
J’espére que vous finirait par trouver ce qu’il a et surtout que ce mal partira, loin loin loin…
Pauvre petit bichon…
Des bisous à lui, à toi, aux deux autres Moopies et au Papa Moop.
Pleins de courage…
J’ai moi même été longtemps malade étant petite et je suis touchée par ton post. Je vous souhaite plein de courage, à vous tous et un prompt rétablissement à ton petit bout!
Quelle triste histoire… je ne peux que vous souhaitez bon courage et croiser les doigts !
C’est toujours très difficile de voir un enfant souffrir…
Les médecins ne prennent pas en compte sa douleur?
Je te souhaite bien du courage et à ton petit bout aussi.
Dis donc, je n’avais pas vu les suites de cette histoire d’hospitalisation. En tant que maman, je comprends un peu…
Courage à lui, à toi, et au reste de la famille.
Magnifique billet, je l’ai dit ailleurs, je le dis ici…
Plein de bisous à vous tous.