Samedi soir, invitation en avant-première aux Studios Disney pour la Princesse et la Grenouille. Rendez-vous à 20H30 sous la pluie et dans le froid. Glagla!!!!
Prem et Deuze trépignaient d’impatience et de joie. Ils voulaient voir les grenouilles et Louie l’aligator comme dans Peter Pan.
Je dois dire que l’organisation pour ce type d’événement est assez étrange de la part d’EuroDisney. Pas de contrôle des invitations, personne n’a pris la peine de vérifier les papiers et les passeports annuels. La file d’attente en dehors du pars à 20H15 ressemblait à un amas de sardines dans une boîte. Il fallait avoir de la voix et jouer des coudes pour réussir à obtenir le précieux petit ticket jaune pour rentrer voir le film. Le personnel n’ayant pas sa tenue de reconnaissance Mickey allez deviner que cette petite dame de 1.55m avait les sésames pour rentrer dans le parc.
Le parc Studio fermé est d’un lugubre. C’est pas très avenant les allées vides et noires. Y a en un il voulait aller tester la Tour de la Terreur, après avoir vu 3 vigiles dignes d’un clonage de Rambo, il a renoncé. Je ne dénoncerai pas son nom La salle était le Cinémagique, juste à côté de Playhouse Disney pour les connaisseurs. Jolie salle, bien agencée et spacieuse, prévue pour les handicapés -pas avec des places dans un coin un vrai espace avec des sièges pour les accompagnateurs. Les fauteuils sont confortables.
Bref, passons, nous parlons du film. La bande annonce De Toy Story 3 est apparue sur les écrans pas de sons. Cris des spectateurs. Le film commence toujours pas de bandes sons, ah si la musique. Là c’est le drame, les gens râlent. J’avoue que les 5 premières minutes du film sont importantes pour saisir le conte et le malentendu du Prince et de la Princesse. Après plusieurs minutes sans voix, juste la bande musicale, le dessin animé rédémarre à partir de la coupure. Sympa pour un Disney d’avancer que c’est une bande et pas un dvd, que nous sommes déjà des veinards d’assister à une projection exclusive… Patati patata. Je n’en veux point aux Cast Members juste que l’organisation et la gestion du problème ont été incroyablement pourries. Continuer la lecture