Garnie Bio Active une gamme de soin sans paraben

Je suis pas très cosmétiques. Pour une fille, c’est rare, je l’avoue. En dehors des produits de mes Moopys que j’adore, et certaines marques sans parabens, sans un bataillon d’additifs, j’ai pas une salle de bain pleine à craquer de démaquillants, crèmes, parfums… Il y a une marque que j’ai toujours apprécié Garnier et la nouvelle gamme Garnier BIO Active me plait beaucoup.

C’est pas le bio qui m’attire, j’aime surtout avoir le moins de trucs possibles allergiques dans sur ma peau et celle de mes grumeaux. J’aime le concept, le respect de l’environnement, les formules testées sous contrôles dermatologiques, l’efficacité prouvée. Avec Bio Active, Garnier s’engage depuis 3 ans dans la recherche Bio. Pour rien gâcher, le choix offre un beau panel avec un packaging assez moopignon: vert, frais et lumineux.

6 produits sont disponibles, 6 soins certifiés Bio de Garnier à l’aloe vera et à la criste marine.

La gamme Garnier BIO Active s’articule autour d’une gamme de soins hydratants (soins visage et laits démaquillants) et de soins anti rides. (Sur le second j’avoue que je ne craque pas du tout)

Gamme Soins Hydratants à l’Aloe Vera

2 soins qui sentent bons, pratiques à  emporter partout. J’en ai un tube dans mon sac Mary Poppins. Yum si je vous dit que les Moopys me la piquent pour leur petits mains et que c’est le seule crème qu’ils veulent bien avoir sur leur petit visage en dehors de la leur, vous me croyez? Un joli trésor pour une hydratation en douceur.

–          Soins protecteur hydratants peaux sèches et sensible

–          Soins protecteur hydratant peau normales à mixtes

Les 2 produits qui m’attirent le plus sont  le lait démaquillant hydratant  et  le démaquillant yeux hydratant . Ca me changerait du liniment maison.

Terminons par la gamme Anti rides à la Cyste Marine (je n’en utilise pas donc jamais testé pour ma part)

La cystte marine est une plante capable de pousser dans les roches et les falaises exposées aux vents et aux embruns. Cette exposition en front de mer lui confère une extraordinaire concentration en minéraux : calcium, magnésium, manganèse, potassium, sodium… Ses propriétés anti-âge ont été montrées in vitro : elle régénère la peau en stimulant le renouvellement cellulaire pour aider à lutter efficacement contre les rides.

2 soins:    Soin Yeux anti rides et Soin anti-rides fermeté

Garnier a réussi son coup avec sa gamme Bio, sans paraben, elle a su débouler à Moopyland à côté de la crème W. et des produits pour bébés & enfants. Je suis difficile dans le choix de mes cosmétiques, et là j’ai été séduite. J’avais craqué quand j’avais lu l’article de Ze Green Geekette. Je suis influençable que vous voulez vous.

Pour plus d’informations, rendez vous sur le site : Garnier

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Deuze et ses listes d’anniversaire et du Papa Nowel

Ah le beau mois de décembre. Deuze est plus que ravi de le voir arrivé ce mois là. Pourquoi? tout simplement car il fête son anniversaire peu avant Noël. Pour lui c’est double rations de cadeaux. Depuis le début du mois de novembre, j’ai droit à une belle liste.
Il réfléchit le bougre et négocie.

Sa liste comporte pour le moment:

  • Un ipad (bon j’aurai le droit de l’emprunter) euh oui, on va réfléchir (500 euros) un ipod touch sinon. Il a saisi toutes les subtilités des machines Apple depuis son hospitalisation en septembre. C’est devenu en quelque sort son moyen d’oublier et de s’évader loin de la douleur. Merci l’iphone à Papa Moop.
  • un console Mopigo de Vtech (58.90)
  • des tractopelles
  • des legos Toy Story: Camionnette Pizza Planet (20 euros)
  • des circuits de voitures (allant de 35 euros à 45euros) il adore le grand des Little People
  • des livres avec le Tag de Leapfrog (34.50 euros)
  • un DVD Dragons (15 euros)
  • un DVD Toy Story le coffret (39 euros)
  • une vélo Pamba de Decathlon (69.90euros)

Pour le console, je tente ma chance dans les concours, on sait jamais, si j’en reçois une, j’en connais un qui sera ravi. Allez chez les 400 clics ou encore Pivoine.

Je me creuse déjà les méninges pour choisir ses cadeaux. J’ai encore 2 Moopys à gâter. Dont Tite Der qui a aussi son anniversaire. Les bébés d’hiver ça occupe bien. (y a aussi Papa Moop en décembre, je vous raconte pas mon cerveau qui se décarcasse pour tout ce petit monde)

Cette douleur qui te ronge Petit Homme

S’il y a bien une chose que le coeur d’un parent redoute c’est la maladie, la douleur et d’autres points pour son enfant. Mon Deuze a eu une hospitalisation en septembre, une semaine sans lui à la maison. 2 kilos en moins sur la balance. (lui mon petit oiseau ne mangeait plus rien) De longs jours d’inquiétudes. Un samedi, il n’a plus réussi à poser les pieds par terre. Une douleur le ronge doucement et lentement. Une douleur qui va et vient. Une douleur qui lui a imposé un repos forcé.

C’est en suivi un traitement d’un mois d’antibiotiques à dosage corsé, des examens à foison, un éviction de sport, du repos. Deuze a depuis toujours mal. Selon sa journée, il a plus ou moins de difficultés à marcher. Il profite de la marche de la poussette, se fait porter. Il râle rarement, il traine et boite.

Ce week-end, la douleur est revenue plus présente, plus violente. Rien de tel pour vous faire oublier que vous avez la crève, que vous n’allez pas bien. Peu importe l’heure, peu importe les dessins animés à minuit, peu importe tout cela si les larmes et les plaintes s’effacent. Mon grumeau était blanc comme un linge, plié en deux de douleur. A tel point, que Papa Moop et moi on a hésité à partir aux urgences pédiatriques. Des câlins, des mots doux, de l’ibuprofène et des glaçons plus tard le sommeil est venu.

Je suis lasse, lasse de cette infection osseuse mystérieuse.
Lasse qu’on ne croit pas un petit bout de 3ans 1/2. Il se plaint rarement, très rarement, c’est pas le bavard du trio Moopy. Moi, je le crois, je crois en sa souffrance. Je crois que ses pieds et ses jambes le taquinent.
Lasse de voir que les meilleurs amis de Deuze sont du paracétamol et de l’ibuprofène.
Lasse de voir mon petit homard souffrir. Je me sens impuissante. Si je pouvais, je prendrais ses bobos, je ne le peux pas.
J’en pleurerais, devant lui je me retiens. Je tente d’être forte. D’être une maman solide, de le soutenir, de l’aider à supporter son mal.
J’aimerai juste une solution. Juste un moyen de ne plus voir mon poussin se crisper et retenir ses larmes dès qu’il pose les pieds par terre. Alors demain, je tente le rendez-vous avec l’osthéopathe. Qui ne tente rien n’a rien.

Les mésaventures d’un doudou

Hier nous avons perdu le doudou de Tite Der. Le doudou, ce petit objet qui parait tellement anodin pour un être extérieur au monde des enfants. Le doudou ce petit ninin, ce chiffon, cette peluche, cet oreiller, ce petit lien apaisant tient une place importante dans la vie quotidienne d’un grumeau. A Moopyland, sur 3 enfants, 3 doudous différents tous choisis par les Moopys. Ils ont chacun leur style, leur look, leur place. Et quelle place. Une place énorme. Une éponge à secrets, une éponge à câlins, un bol d’amour, un substitut de papa et de maman.

Quel parent n’a pas connu le drame du doudou? Vous savez ce moment horrible où votre progéniture perd son précieux doudou. D’accord si vous êtes prévoyant, vous avez au minimum deux exemplaires du ninin. encore faut-il que ce ne soit pas un cadeau, un achat en modèle unique…

J’ai depuis Prem pris la fâcheuse habitude d’offrir ou d’acheter en double toutes les peluches. Pourquoi? pour les instants « doudou est sale, faudrait le laver » Parce que le ninin crade, qui pue tel un rat crevé oublié derrière le frigo ça soulève le coeur. Parce que un doudou ça a parfois besoin de vacances dans la machine à laver. Si si je vous l’assure pour le bien de la communauté une bain c’est un mal nécessaire. Parce qu’un doudou ça mène une vie palpitante, ça bouge, ça suit partout son mini propriétaire. Car oui, un doudou a droit à partir partout, partout. Il lui arrive de se retrouver coincer sous une roue, sur un toboggan, de mener les investigations, de courir les fôrets pour chasser les monstres, de rechercher un trésor. Vous pouvez pas savoir le nombre d’aventures qu’un doudou a en une seule journée. Sans compter, les désagréments du style: vomi, morve, crachat, nourriture, boisson un vrai ramasse tout un ninin.

Alors, oui, j’ai des exemplaires de doudous, le truc ils sont planqués mes doubles. CAR le Moopy est malin, son doudou il doit être unique!!! ne pas avoir de frères et soeurs dans la maison. Il doit être à lui, être crasseux, usé par ses petits doigts et ses preuves d’amour. Tite Der a traîné son Renard chéri à l’école des grands. Le dram a pas loupé, il a décidé de vivre sa vie. Maman Moop a sorti pour le coucher le secours. Et ce matin, oh surprise un gentil anonyme avait récupéré doudou, donné précieusement à un professeur. Merciii à la gentillesse d’une personne qui a pensé que la peluche pourrait manquer à un enfant. La puce était ravie de retrouver son compagnon. Entre temps, j’avais rangé Numérobis au cas où.

Dur dur la vie de doudou et de parents!!! Moi je vous le dis.

Un jour on a dit adieu à presque 5 ans de vie commune avec tétine.

Prem est le premier Moopy. Quoi vous l’aviez deviné? Ben, c’est le plus grand, le plus beau, le plus merveilleux à sa façon. C’est le Moopy qui essuie tous les plâtres de mon rôle de maman. Ma perle, ma crevette minuscule qui a vu le jour au temps incertain dans un périple un peu chaotique. Je déteste encore plus les piqûres depuis ce jour là. Mon Moopbichou était riquiqui minuscule à sa naissance, une petite crevette pas très grande par la taille ni le poids. Pas grave, mon bébé, mon ange remplissait tout l’espace de sa présence. Depuis ma Crevette a dépassé les courbes de croissance, pas de poids, c’est un haricot.
Pourquoi, je vous raconte tout ça?

Simplement parce qu’il y a presque 6 ans, quand j’ai mis au monde mon bébé, ma merveille. Je découvrais un univers celui de la maternité. Je suis devenue maman. Même si je l’étais bien avant sa naissance. Je le suis devenue le jour où le test a viré au positif. Le jour où j’ai vu ma Crevette à l’écran, entendu son petit coeur. L’émotion qui m’a envahie restera à jamais graver dans ma mémoire. Ce qu’on vous dit pas c’est les sacros-saints conseils des déjà mamans, des médecins, des infirmières et des puéricultrices.

Comme toutes les mamans toutes fraîches, j’ai pris mon lot, mes idées et mis à ma sauce. Je suis loin d’être parfaite. Je ne sais qu’une chose, ce petit Moopy est le mien, ma chair, mon âme, un mini nous. Car oui, c’est un peu de moi et surtout un peu de mon amour. Alors, je prends, je suis les mots de la puéricultrice à la maternité sur l’allaitement. Je tiens tête pour persévérer malgré les hauts et les bas. Non au biberon, non à la tétine. Je connais une aventure de je t’aime moi non plus avec un tire-lait. J’ai fini par détester cet appareil. Personne ne m’a jamais soufflé que mon Prem avait un frein de langue qui le bloquait, un besoin de tétouillage légitime à tous les bébés.

Non personne, on m’a laissé me dépatouiller. Un petit têteur passionné collé en permanence, un tire-lait d’un autre côté. J’ai fini par céder à la tétine. J’ai regretté cette solution immédiatement. J’étais lessivée. A 1 mois Prem faisait ses nuits, à 2 mois Prem a commencé une vie commune avec une titine. Et oui, on peut faire ses nuits en étant allaité, je dérape c’est un autre sujet.

Cette histoire d’amour a duré. Durééééééééééééééééééé. Les piles acaline ont eu de la concurrance. Je plaisante, j’en menais pas large l’air de rien. Prem habitué à sa tétine, j’ai du la trimballer partout tout le temps. Impossible de se poser, de se reposer, de s’endormir sans elle. Sa présence était nécessaire à son bien-être. Pas évident à gérer au quotidien. Je crois qu’au début j’ai laissé aussi la tétine pour la reprise du travail, pour combler un vide et oublier les allergies qui nous apportaient des nuages. A force d’amour, de tendresse, j’ai réussi à négocier de la poser pour les activités, pour les sorties en la gardant dans la poche ou dans le bonnet de Jack le doudou. Une petite victoire.

Seulement, pour dormir, crises de larmes, crises de nerfs si tétine n’était pas là. Mon coeur se brisait de voir mon Moopy triste pour un palliatif de tétouillage. Je voulais pas de méthode brusque comme la poubelle. Plusieurs modèles sont passées. J’ai tenté l’histoire de la petite famille d’écureuil qui avait besoin d’une tititine pour ses petits. Niet. Je commençais à désespérer au fil des années. Je m’étais fait à l’idée d’avoir un titine dans la poche. Je m’étais même jurée que plus jamais une tétine n’entrerait à Moopyland. Deuze et Tite Der n’en ont jamais eu.

Et soudain, lors de l’année de sa moyenne section, Prem a eu un flash. Une visite médicale a lieu pour examiner la croissance de votre enfant. J’ai été convoquée car le mien il est grand, trop grand pour son âge, futé comme tout. Jusque ici ça pourrait passé, le hic il est maigre comme un clou. Je ne suis pas une gaveuse d’oie. Il mange en plus le bougre, il prend très peu. Là, le docteur me parle de son poids, puis d’un coup de son zozotement, je sais c’est la tétine. Il dort encore avec et ses dents ont des écartements qui bloquent son élocution. Prem et lui ont eu une discussion, qu’un sourire c’est eau tellement beau sans rien pour le cacher. J’ai oublié les mots, et je n’ai pas assisté à tous les échanges. Moopy Premier a réfléchi. J’ai pris rendez-vous avec une dentiste adorable, j’ai signé un pacte plus de tétine, le train rêvé deviendrait son nouvel ami. Ni une ni deux, vous me croirez si vous voulez, il est rentré d’un pas décidé, s’est dirigé vers son lit a pris son Jack fouillé dans son chapeau. Sous mes yeux ébahis, Prem a sorti sa tétine ouvert la poubelle en grand et dit adieu à presque 5 ans de vie commune. J’étais sur le flanc.

J’ai tellement eu peur que j’ai gardé une tétine, je pensais passé une nuit atroce. Le résultat fut bluffant, pas une larme. Mon Prem s’est endormi avec son catalogue de train. Il m’a fait promettre d’aller lui chercher son train. J’ai accepté. Le lendemain, j’ai cherché partout son précieux cadeau. J’ai réussi à le trouver. Je suis têtue. La quête valait la peine pour Prem, pour la promesse d’une maman et de son fils.

Certaines mamans diront que j’ai acheté mon fils, je m’en fiche, j’ai fait un pacte, une offre donnant donnant. Je n’étais pas sûre qu’elle fonctionne. J’ai joué et j’ai gagné. A mon avis, si le médecin et le dentiste ne lui avait pas parlé, rien ne serait arrivé. Mon Prem a toujours le sourire, il le montre encore plus depuis son lâchage de tétine. Il suffisait d’un déclic, d’une once de patience pour se séparer d’une compagne envahissante malgré sa taille. Yeahhhhhh libre, libre!!!!